Les examens et concours de fin d'année 2022/2023 sont déjà proches. Pour vous éviter une perte de temps sur internet à rechercher des documents de préparation.
Nous avons mis à votre disposition [élèves ou étudiants] :
- LES EPREUVES CORRIGEES 2023
- LES DERNIERS BORDS/FASCICULES 2023
- UN LIEN POUR CONNAÎTRE TON RESULTAT 2023 AVANT LA SORTIE OFFICIELLE, CLIQUE ICI
- LES DIFFERENTS MODELES DE LETTRE/DEMANDES/CV
Par ailleurs, nous avons pris le soin de leur informer en temps réel sur les opportunités comme :

Cher candidat, vous retrouvez ci-dessous les résultats du BEPC Cameroun 2023 de la région de l’EST
Les candidats classés par ordre alphabétique dont les noms suivent sont déclarés définitivement admis à l’examen du BEPC session 2023.
Même si les résultats ont peut-être déjà été publiés pour certaines régions, nous ne les avons pas encore avec nous pour les partager avec vous pour le moment.
Nous prions les candidats aux examens du BEPC et leurs proches à faire preuve de patience pour la suite, et à revenir de temps en temps sur ce site pour vérifier la disponibilité des autres régions. Nous publierons ces résultats au fur et à mesure de leur disponibilité.
VOS RESULTATS SE TROUVENT A LA FIN DE CET ARTICLE
Information sur les délibérations du BEPC 2023 au Cameroun
Les délibérations des examens de l’enseignement secondaire sont régies par les textes dont la conception, à priori, ne souffrent pas d’insuffisance notable. La nomination d’un président de jury, quoiqu’obéissant à des critères définis de manière relativement rigides, s’accommode toujours du caractère discrétionnaire d’une nomination. Ainsi donc, en dehors du Baccalauréat, certains individus, nouvellement promus dans les administrations ou dans la chaîne de supervision pédagogique, se retrouvent président de jury sans avoir assumé des fonctions subalternes au préalable comme chef de salle de correction, membre ou chef de secrétariat ou encore chargé de mission dans un centre d’examen. C’est ainsi que des erreurs causées par deux présidents de jurys au cours de la session 2011 ont fait déclarer admis près de soixante dix candidats refusés et vice versa. Cette affaire qui a défrayé la chronique dans les média, a été telle que le Directeur de l’Office du Baccalauréat a eu toutes les peines du monde à remettre les pendules à l’heure.
Sur un tout autre plan, le taux de réussite aux examens officiels constitue, aux yeux de l’opinion au Cameroun, (comme dans beaucoup d’autres pays), le principal indicateur de la qualité des acquis scolaires. Les performances d’un chef d’établissement sont jugées à partir du taux de réussite de ses élèves aux examens officiels. L’Office du Baccalauréat du Cameroun publie, après chaque session, le palmarès des établissements privés et publics à partir du même taux, l’Etat du Cameroun indexant même (de manière tacite) à ce taux le montant des subventions à allouer aux établissements privés. Ainsi donc, le politique est très regardant sur les performances des candidats aux examens officiels, et demeure prompt à « corriger » tous les dysfonctionnements qui pour lui, sont de nature à porter atteinte aux performances des candidats. Dans les conditions sus évoquées, les Délégations Régionales des Enseignement secondaires pour les examens du premier cycle, et le Conseil des Examens (deuxième organe délibératif de l’OBC), la Cellule Scientifique et Technique (du Comité de suivi des examens créé par le MINESEC), passent au scanner, entre autres, tous les dysfonctionnements imputables à la conception des épreuves, et imposent à tous les jurys, des modulations éventuelles en faveur des candidats. C’est ce qu’on appelle ici l’harmonisation des résultats, l’objectif étant de «recentrer la physionomie des résultats pour préserver l’objectivité et l’équité des évaluations ». Si ces objectifs sont louables et parfois docimologiquement défendables sur un plan tout à fait ponctuel, il n’en demeure pas moins que la récurrence d’une telle pratique est de nature à masquer une baisse de niveau, en l’absence d’une culture de l’évaluation des acquis scolaires.
Lé désintéressement des intervenants aux examens
Cet aspect a été de tous temps, le talon d’Achille des structures en charge des examens, surtout en ce qui concernent la Direction des Examens des Concours et de la Certification(DECC), et l’Office du Baccalauréat du Cameroun(OBC).
Pour ce qui est de la DECC, un décret du Premier Ministre, Chef du Gouvernement signé en 2011 est venu désamorcer une bombe qui couvait depuis plusieurs années. Ce texte qui remplace un décret signé en 1979, revalorise la copie corrigée, la vacation de surveillance et de délibération, et les indemnités afférentes à certains personnels de supervision. C’était certes, la principale revendication des enseignants. Cependant, l’indexation des indemnités de certains responsables (Délégués départementaux, régionaux, chefs de services, sous directeurs et directeurs impliqués dans l’organisation des examens) à un coefficient que multiplie le nombre de candidats à cet examen, est une mesure discriminatoire qui à terme, de par le caractère croissant du nombre de candidats, est susceptible de poser de graves problèmes d’équité, parce que créant une caste de privilégiés. Prenez le cas d’un responsable régional qui a doit percevoir une indemnité de confidentialité et d’astreinte qui est un forfait variant de 50 000 à 500 000 FCFA, en plus d’une indemnité de rendement fixée à 6 FCFA multiplié par le nombre de candidats de son ressort territorial ! Si sa région compétence compte 150 000 candidats, cela fait, dans le meilleur des cas 1 400 000FCFA (un million quatre cent mille) d’indemnités, et dans le pire des cas, 950 000 FCFA (neuf cent cinquante mille). Pendant ce temps on accorde à un Inspecteur Pédagogique National une indemnité d’astreinte fixée à 132.000FCFA (cent trente deux mille) pour l’ensemble des examens relevant de la DECC !
En ce qui concerne l’OBC, une étude récente présentée par son Directeur lors de la dernière conférence des services centraux et déconcentrés du MINESEC, démontre qu’il faut pratiquement doubler les frais d’inscription aux examens pour couvrir l’ensemble des frais liés à l’organisation d’une session. Le GCE BOARD n’est pas très loin de là. Le caractère sensible des examens est tel que le politique, à l’heure actuelle ne saurait courir ce genre de risque. Ceci démontre que le financement autonome des examens par ces structures, n’est pas soutenable. Il faut donc recourir aux subventions qui n’arrivent pas, ou parfois pas à temps. Pendant ce temps ces structures cumulent des arriérés de payement, et la menace de débrayage des examinateurs demeure une épée de Damoclès suspendue au dessus de leur tête !
C’est donc dire que l’organisation des examens officiels au Ministère des Enseignements Secondaires, malgré une volonté politique affichée pour en améliorer la qualité, soufre encore de quelques pesanteurs. Certes le souci d’innover demeure perceptible surtout au niveau de l’OBC qui procède régulièrement à des réajustements en fonction des dysfonctionnements observés. Ce souci devrait être une conquête permanente pour l’ensemble des structures en charge de la gestion des examens. D’autre part, l’Inspection Générale des Enseignements devrait renforcer son expertise dans l’évaluation systématique de l’ensemble du processus lié à l’organisation des examens, afin de mieux jouer son rôle dans le suivi des activités des structures en charge des examens ; enfin, au niveau gouvernemental, on devrait procéder à un arbitrage budgétaire, afin de mieux appréhender le financement de l’organisation des examens, car sur ce plan, le financier et l’éducateur semble ne regarder dans la même direction.
Sur 147 candidats enregistrés, 146 ont composés, 120 ont bravé l’examen dont 62 garçons et 58 filles. Le taux de réussite est de 82,19%. Comparé à la session antérieure (2021), l’on observe une légère diminution du taux de réussite. Le taux de réussite en 2021 était de 85,93%, pour la réussite de 116 candidats sur les 135 qui ont composé.
Les trois meilleurs candidats sont par ordre de mérite : Giles Tchoffo Nguea avec une moyenne de 17,48/20 ; Francina Nschadze Fru, 16,26/20 et Marie Miranda Ntiecho 15,67/20. Les résultats des autres régions seront publiés au fur et à mesure.
RESULTATS BEPC 2023 CAMEROUN: REGION DE L’EST CAMEROUN
Related posts:
Nous vous accompagnons dans la préparation de vos EXAMENS OFFICIELS et CONCOURS en mettant à votre dispositions les derniers sujets des examens nationaux (G.C.E, CAP, BEPC, PROBATOIRE, BAC, BTS,LICENCE, MASTER, DOCTORAT) et internationaux ainsi que les anciennes épreuves de concours d’entrée aux grandes écoles au Cameroun, en Côte d'ivoire, au Gabon, au Sénégal telles que: ENS, EAMAU , ENAM, ENIEG, IRIC, IFORD, IDE, ENSET, ESSEC, IUT, FGI, FASA, FMSB, ESSTIC, EGEM, ENSP, ENSPT,UCAC, ENIET,POLICE, MINE ET PONT , FMSP, IIA, FSMB, EAMAC,CAFOP,INFAS Totalement gratuit sur notre site web. Ces sujets sont mis à votre disposition par les étudiants en Licence, en Master, en Doctorat et des Enseignants.
les anciens sujets des autres pays: BAC BURKINA FASO, BEPC BURKINA FASO , BAC MALI,DEF MALI, BAC GABON, BEPC GABON, BAC TOGO, BEPC TOGO, BAC BENIN, BEPC BENIN, BAC NIGER, BEPC NIGER, BAC SENEGAL, BFEM SENEGAL.
Nous sommes leader dans notre domaine, merci pour la confiance que vous mettez en Nous!!!!!

Cliquez ICI pour nous contacter directement
